en réalité, nous entrons dans un monde bien curieux puisque bien que plus instable et dangereux, il se veut hygiéniste – l’état est alors un père qui parle à ses enfants, le dirigeant à tout instant – sauf cependant pour ce qui est de sérieux ou fatal. les zones d’ombre le restent et s’étendent alors qu’on nous parle comme à des êtres immatures – faisant tout pour ne percevoir aucune échéance – l’attention happée dans des jeux sans fin, on fait défiler des données, on vérifie son courrier, on se photographie en tout lieu. et c’est une pluie très rude qui va nous frapper.