à quatre heure du matin, les oiseaux se mettent à chanter dans la nuit noire. je tente un enregistrement. tout n’est pas parfaitement silencieux. peu de voitures mais on en devine sur le boulevard. on peut y déceler une activité humaine. c’est ce qui, enfant, me rassurait. que tout le monde ne dorme pas. que quelque chose se passe à travers la nuit.